Non catégorisé

Un peu de culture...🇳🇱🇳🇱🇳🇱

Pour leur premier cours de néerlandais, les élèves de 3ème langues 2 ont assisté à un cours d’initiation à la culture afin de donner du sens aux apprentissages.
Le saviez-vous?
Avant le lion, la Flandre était représentée par un dragon, un loup ou encore un léopard.
Ce n’est qu’au 14ème siècle qu’on choisit officiellement le lion que l’on surnomme donc “de Vlaamse leeuw”.
 
  

L'Athénée & l'ITHAC (Initiatives Théâtre Ados Créations)

Quelle in-cro-yable année scolaire! Reconnu comme opérateur thématique par le PECA, IThAC a pu toucher près de 1.000 élèves à travers toute la Fédération Wallonie-Bruxelles, d’Arlon à Florennes et de Dinant à Schaerbeek, avec des projets qui laissent de belles traces dans les cœurs, et même dans les boîtes aux lettres!
«Merci de nous avoir fait découvrir des choses que nous ne connaissions pas, que nous n’avions jamais faites!». Ce cri du cœur, lancé par la 5e G de l’Athénée Royal René Magritte de Châtelet, s’impose comme le meilleur résumé de l’aventure, qu’IThAC poursuivra bien sûr l’année prochaine – n’hésitez pas à nous contacter pour que nous rêvions ensemble.
 
L’heureux destinataire de ces mots, c’est Adrian Diaz. «Merci de nous avoir laissé exprimer notre créativité», poursuit la lettre, signée par toute la classe de 5e et parfumée de joie. «Mon objectif, c’était que les jeunes puissent essayer des choses le plus librement possible», explique le metteur en scène du Théâtre Coeur de Terre. Il a invité les jeunes à réfléchir à l’idée du mensonge, qui fonde le thème de sa prochaine création. «Les jeunes se sont approprié le sujet en fonction de leur vie quotidienne: on a décidé de travailler sur les influenceurs, les relations amoureuses et le débat politique. Tous et toutes ont écrit, puis enregistré une création radiophonique.»
Le résultat? Il est irrésistible. «Radio Mentira» («Radio mensonge» en espagnol) combine 25 minutes de fausses pubs, journaux parlés et interviews politiques avec un humour piquant. «Le plus important», insiste Adrian Diaz, «c’est le parcours des jeunes. C’est là, le vrai résultat! Le fait d’être dans une libre exploration leur permet de se découvrir eux-mêmes, de s’étonner et d’aboutir à des choses inattendues. On «joue» ensemble. Ça responsabilise aussi les jeunes: tout ce qu’on va gagner sera lié à l’investissement de chacun. L’aboutissement n’en est que plus fort, parce qu’il vient du jeune lui-même, pas à d’une consigne qu’il aurait appliquée.»
Au fil des semaines, en complicité avec l’enseignante Hélène Fauvelle, Adrian Diaz a vu changer le groupe. «Des personnes en défi d’écriture ont clairement pris le taureau par les cornes », note l’artiste. «Et tous se sont engagés dans le travail du jeu, derrière le micro. C’était plus simple pour eux que de monter en scène. La voix était centrale, mais j’ai vu aussi évoluer le rapport au corps. Des exercices en cercle ont permis de travailler la connexion aux autres. Même ceux qui étaient plus en résistance au début ont pris plaisir à rentrer dans un jeu qui sortait la classe de ses habitudes. Le groupe a clairement osé aller vers l’inconnu: j’ai vu qu’ils découvraient par le corps la joie de se dépasser »
 
 

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